Des fois, je regarde le ciel.
Je regarde les nuages,
les formes qu'ils prennent.
Et j'ai l'impression de voler. D'être un oiseau.
Ca doit être bien. Voler le jour, dormir la nuit.
Vivre de la nature et apprécier la vie.
Se sentir libre, vivant, invincible, seul au monde.
Pouvoir voler.
Un grand rêve de l'humanité.
Depuis toujours.
Et ça se comprend, cette fascination pour le Monde aérien.
Quand je regarde le ciel, je me sens tout petit,
tout petit face à l'immensité du monde,
à la splendeur de la faune, à la majesté de la flore.
Je me sens tout petit par rapport aux milliards d'années qui nous séparent des premiers hommes, nos ancêtres à tous,
des formes de vies primitives. De la Création. Du Commencement,
du Temps et de L'Espace.
Ces dimensions mystérieuses. La durée et la matière.
Quand je regarde les nuages, des fois, je rêve d'être dans l'espace.
Qu'y a-t-il aux frontières de notre monde ?
Je ne sais pas.
Je m'imagine le noir, le noir à n'en plus finir.
L'infini. Cette chose indescriptible que l'homme n'a jamais réussi et n'arrivera jamais à s'imaginer.
Le vide, et aussi le Tout. La vie, la mort.
Ces choses dont on ne parle jamais.
Mais qu'il y a-t-il après l'espace ? Qu'y a-t-il après la vie, pendant la mort ?
Les vivants ne le sauront jamais, les morts ne peuvent plus nous le dire.
Un petit poème en proses que j'ai écrit. Ce n'est qu'un essai. Commentez !
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